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Scénographie exposition « Puis la nuit tombe »

Scénographie exposition « Puis la nuit tombe »

Scénographie exposition "Puis la nuit tombe"

L’exposition « Puis la nuit tombe »

« Puis la nuit tombe » est une exposition de Thomas Cartron à la Maison de l’Architecture de Normandie – Le Forum dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste 2016.

Thomas Cartron présente pour cette exposition une mise en miroir de plusieurs projets axés sur les questions de la représentation et de l’image. Une approche expérimentale de la photographie, à mi-chemin avec la peinture, qui tentera ici de dresser le portrait d’une ville. Des paysages abstraits. Des images de la nuit, à la recherche d’un (presque) invisible. Attendre la fin du jour, indispensable pour voir apparaître ces lueurs d’espoir, ces lucioles si chères à Georges Didi-Huberman. Un travail sur la résistance, sur le manque de lumière et les astres isolés.

Un travail sur la fragilité, sur l’espoir. Des images-lucioles comme autant de formes salvatrices, comme paradigme d’un impératif à penser le contemporain différemment.

 

La scénographie de l’exposition

La scénographie reprend le concept de paysage et de contemplation de celui-ci. La série de photographie intitulée «Les lucioles» est imprimée sur Plexiglass diffusant, puis encadrée dans des caissons rétroéclairés par leds. Le tout est rythmé par une respiration lente des éclairages leds.

Dans le but d’observer ces caissons et cette respiration, un banc de vingt mètres parcours la salle d’exposition reprenant les codes du banc public.

Celui-ci est conçu en rapport avec l’espace d’exposition et combine une partie assise et une partie «display» permettant la consultation du catalogue éponyme à l’exposition.

 

Catalogue : Atelier Tout Va Bien
Avec le soutien de : Time and Place – Le Ministère de la Culture et de la Communication – La Région Normandie – Rouen Métropole – Le Département Seine Maritime – Le Département de L’Eure – La Ville de Rouen – La Ville de Caen – La Ville du Havre .

Année : 2016
Photographies : © Thomas Cartron

Scénographie « Nos années sauvages – Acte V : Insurrection »

Scénographie « Nos années sauvages – Acte V : Insurrection »

Scénographie "Nos années sauvages - Acte V : insurrection"

Le travail de scénographie pour cet opus n°5 du magazine Nos Années Sauvages est basé sur L’Insurrection et le rapport que peuvent avoir les artistes avec cette notion. Le magazine regroupe des portraits écrits par des rédacteurs et des portraits photographique, expliquant en quoi le travail de chacune des personnalités présente dans ce numéro comporte une part d’insurrection.

Autour de la parution de ce numéro, un événement à été créé à Rouen lors du Festival Normandie impressionniste 2016. Cet événement s’est déroulé au sein de l’ancienne école municipale Victor Hugo et avait pour but de mettre en scène une déambulation scénographiée, orchestrée et jouée. Cette déambulation prend la forme d’un spectacle dont chaque visiteur est spectateur, se trouvant au nombre de 50 par représentation.

Au travers d’une scénographie transformant l’intégralité du lieu, la notion d’insurrection est tantôt suggérée par des points de vues inhabituels, par des performances, ou encore par un concert en live mêlant lecture de textes et articles de presses.

Le spectateur se retrouve dans un lieu méconnaissable et ses sens sont mis à rude épreuve.

Retrouvez le magazine sur le site de Nos Années Sauvages

Direction artistique : Thomas Cartron et Sylvain Wavrant
Artistes : Marc Blanchard, Aude Bourgine, Thomas Cartron, Baptiste Conte , Danielle Delgrange, Thomas Dellys, Laurent Martin, Misha Acid Ridha, Museau, Maël Nozahic, Arnaud Rochard, Tallisker, T.D.H., Matthieu Triolet, Sylvain Wavrant.
Mise en scène : Alexandre Dain
Scénographie : Thomas Dellys Office
Dramaturgie : Corinne Meyniel
Comédienne : Sara Amrous
Conception du catalogue : Atelier Tout va bien
Rédacteurs : Sou-Maëlla Bolmey, Thomas Cartron, Coline Franceschetto, Maxime Maillard, Corinne Meyniel, T.D.H., Manon Thorel, Sylvain Wavrant.
Supplément : Quatre posters A3 Éléonore Ampuy, Helena Guilloteau, Gladys Hackière, Marie Tlav.
Video : Julien Condemine

Année : 2016

Scénographie « Nos années sauvages – Acte IV : Résurrection »

Scénographie « Nos années sauvages – Acte IV : Résurrection »

Scénographie "Nos années sauvages - Acte IV : résurrection"

Réalisation de mobilier pour le lancement de l’opus n°4 du magazine Nos Années Sauvages sur le thème de la résurrection avec comme icône le phénix renaissant de ses cendres.
Conception de deux tables accueillant le magazine, des tirages sur plexiglass du shooting photographique principal ainsi que quelques éléments de l’exposition associées au lancement de ce numéro. L’Eclairage est intégré aux tables pour créer un jeu d’ombres. LA gamme colorée du mobilier réalisé pour la scénographie de l’exposition tient compte de l’univers du Phénix et du traitement photographique adopté pour le magazine. La transparence du papier et le dégradé des couleurs permet, au travers des ombres portées, de colorer la pièce et donner une ambiance.

La disposition des feuilles sur la structure évoque volontairement les plumes ou les écailles relatives à cet animal mythologique qu’est le Phénix, c’est de là que vient le nom UMOU de l’installation. C’est la traduction du mot plumage en Japonais. 

Deux lancements ont été effectués, l’un à la MJC du Grand Cordel à Rennes, l’autre à l’UBI de Rouen pendant lesquels une exposition des oeuvres des artistes présent dans le magazine a été organisé également.

Retrouvez le magazine « Nos années sauvages – 4 Résurrection » ici 

Matériaux : Pin, Cables Acier, Papier 180g/m2, Néon

Dimensions : 1,20 x 0,80 x 2,40 m

Année : 2015

Aménagement exposition « Bout de Camp »

Aménagement exposition « Bout de Camp »

Bout de Camp : Espace

 

Concept de l’exposition « Bout de Camp » à la Galerie DMA

« Bout de Camp » est à la fois une exposition et un hôtel, un campement éphémère au sein de la Galerie DMA.

L’espace de la galerie à été aménagé de A à Z en collaboration avec Thomas Jolly. De la douche à la cuisine, nous avons envisagé la galerie comme une page blanche sur laquelle nous avons souhaité developper un concept simple, celui du campement de designer, de l’hotel éphémère. Envisageant la ville comme notre forêt, les industries et les matériaux locaux comme nos branches d’arbres, nos morceaux de bois, nos feuillages permettant de faire de la galerie notre cabane urbaine. Nous avons souhaité proposer un aménagement intuitif, presque primitif, instantané mais en corrélation avec l’univers urbain.

Ici pas question d’amener la nature en ville mais plutôt de mettre en exergue le savoir faire primitif de chacun avec des matériaux simples et accessible. Pas de clou, pas de vis , pas de colle, mais de l’usinage simple, du pliage, du brelage emprunté aux scouts et aux marins. Des matériaux locaux comme le frêne, du tube de carton provenant d’une industrie bretonne avec une résistance hors norme, de la corde polypropylene venant d’une corderie Malouine permettant de trouver dans l’espace de la galerie les fonctions domestiques habituelles (cuisine, douche, salon, chambre). Le soir, la galerie devient hôtel, les nuitées sont à réserver et la totalité du mobilier est utilisable afin de vivre une expérience unique. En journée, un espace bibliothèque met en libre consultation des ouvrages microédités par des artistes, graphistes, illustrateurs, sérigraphies, écrivains etc. Une partie du mobilier est alors accessible pour la consultation des ouvrages, et permet au public ne souhaitant pas réserver une nuit de vivre une partie de l’expérience. On peut toucher autrement qu’avec les yeux et appréhender l’espace d’une galerie d’une manière différente.

Si le concept vous intéresse n’hésitez pas à me contacter pour développer l’idée.

Scénographie « Nos années sauvages – Epilogue : Achever »

Scénographie « Nos années sauvages – Epilogue : Achever »

Scénographie "Nos années sauvages - Epilogue : achever"

Scénographie pour le lancement du magazine « Nos Années Sauvages – Epilogue : Achever »

Ce troisième numéro du magazine est supposé être le dernier numéro, c’est pourquoi il est orienté sur l’axe de la mort et de notre rapport à cette notion. C’est pourquoi la scénographie est basée sur la ré-interprétation de la potence, icône de la mort. Les tablettes, sur lesquelles sont posées les magazines se balancent délicatement lorsque l’on manipule les magazines. L’utilisation de la corde permettant de suspendre les tablettes qui accueillent les magazine et leurs supplément font directement référence au moyen de mise à mort des condamnés.

L’éclairage minimaliste, couplé aux tablettes et intégrés aux structures, permet des jeux de lumières sur les murs de la galerie et de structurer un espace plutôt vide.

Retrouvez le Magazine « Nos Années Sauvages – Epilogue : Achever » ici

Matériaux : sapin, contreplaqué de peuplier, drisse polyester et béton.

Dimensions : Variables.

Année : 2013